Pose de prothèses capillaires à Brest - Confiance En Soi
Découvrez des perruques naturelles ou synthétiques dans le Finistère
Le choix d'une prothèse capillaire représente une étape cruciale pour les patients atteints de cancer, car elle peut considérablement renforcer leur Confiance En Soi.
Il est essentiel de comprendre qu'il ne faut pas attendre que la perte de cheveux commence avant d'agir.
Dès l'annonce de la maladie, il est primordial de décider de prendre soin de soi immédiatement, même si cette nouvelle est extrêmement difficile à accepter.
Une prothèse capillaire bien choisie peut non seulement aider à restaurer l'apparence physique, mais aussi aider à maintenir une estime de soi positive, contribuant ainsi au bien-être global du patient.
C'est un acte de résilience et de courage face aux défis posés par la maladie.
Pourquoi s’y prendre tôt ?
Saisir l'opportunité de choisir une prothèse capillaire adaptée présente de multiples avantages, notamment :
- Faciliter le choix ultérieur
- Renforcer la résilience mentale
- Permettre de repartir l'esprit libre, une tâche accomplie
- Conférer un sentiment de préparation pour les défis à venir
Remboursement…
Les prothèses capillaires peuvent souvent être remboursées par l'assurance maladie ou une complémentaire santé.
Cependant, les conditions varient en fonction du pays et du régime d'assurance.
Il est essentiel de se renseigner auprès de sa mutuelle ou de son organisme d'assurance pour connaître les détails spécifiques du remboursement et les démarches à suivre pour bénéficier de cette aide financière.
Actuellement, les prothèses capillaires éligibles à un remboursement de la Sécurité sociale sont réparties en deux classes distinctes.
La première correspond aux perruques, ou prothèses capillaires totales, faites uniquement de cheveux synthétiques.
Leur prix est plafonné à 350 € et, dans ce cas la somme est intégralement prise en charge par l’Assurance maladie. Problème, ces prothèses ne correspondent pas toujours aux attentes en termes de confort et d'esthétique recherchées par les malades, avance la Cnam.
La seconde classe regroupe les perruques faites d’au moins 30 % de cheveux naturels.
Si elles sont, en général, préférées, leur remboursement est moins intéressant et s'élève à 250 € pour un prix de vente qui ne doit pas dépasser 700 €. Or, ce dernier est jugé par la Cnam « très faible par rapport aux coûts de ces perruques ».